Description
Un anti-infectieux efficace et polyvalent, facile d’utilisation;
L’extrait de pépins de pamplemousse a sans conteste des qualités anti-bactériennes intéressantes. Les extraits ne viennent pas en fait uniquement des « pépins ». On utilise également la pulpe, voire le fruit en entier pour les extraits de mauvaise qualité. On utilise en tous les cas d’énormes quantités de pépins et de pulpe pour fabriquer 1 litre d’extrait, et donc on se posera la question de la provenance et de la qualité des matières premières utilisées. En se demandant déjà si une qualité bio n’est pas indispensable, au vue des traitements pesticides faits dans les cultures intensives. Et dont une partie risque de se retrouver dans les extraits, notamment ceux utilisant la pulpe.
Lorsque vous utilisez un produit dit naturel, soyez le plus exigeant possible sur ses procédés de fabrication et la qualité des matières premières, comme on peut le faire pour son alimentation.
Pour autant les propriétés anti-bactériennes et anti-fongiques de l’EPP* sont fondées et vérifiables. En témoigne, les milliers de résultats positifs obtenus sur des pathologies infectieuses. De plus, il présente peu ou pas de nocivité. Sur une prise en quasi-continuité de plusieurs années, on a pas de certitude absolue. Mais de toute façon, son usage ne doit pas, sauf exception, se faire en continu durant des années. Même préventivement.
L’EPP est intéressant en traitement naturel de nombreuses pathologies infectieuses, respiratoires, ORL et bronchiques, intestinales et stomacales, urinaires, vaginales, dermatologiques.
Pour autant, il n’est pas le seul ni le plus efficace pour telle ou telle infection. Les huiles essentielles, les extraits de plantes, la propolis existent depuis longtemps, et leurs propriétés, leurs contre-indications sont reconnues
L’EPP est, il est vrai, plutôt facile à utiliser. Une légère amertume, qui disparaît vite dans un peu de jus de fruit, n’empêche pas les enfants et les adultes difficiles de le consommer chaque jour. Et en voyage, on pourra aseptiser facilement une eau de boisson ou un plateau de fruits. Il se dilue dans l’eau, ce qui n’est pas le cas des huiles essentielles.
Son efficacité anti-infectieuse est souvent comparable à celles des huiles essentielles et même de la propolis.
Les études scientifiques sont très contradictoires et suivant les extraits utilisés pour ces études, les résultats peuvent être interprétés différemment. Mais les témoignages de satisfaction de milliers d’utilisateurs réguliers suffisent largement à prouver l’efficacité d’extraits de bonne qualité pour lutter contre des bactéries pathogènes. Infections bactériennes de tous ordres, respiratoires, intestinales, stomacales, urinaires, vaginales, dermatologiques…
L’action anti-virale est loin d’être aussi puissante qu’on le lit dans les diverses documentations, comme son action anti-parasitose. Par contre, en stimulant et en soulageant, le système immunitaire, il permet à l’organisme de mieux lutter contre des virus pathogènes.
Plus évidente est son action anti-fermentation, antifongique. Sur le candida albicans, notamment. Et sur des mycoses de la peau, mycoses des pieds par exemple.
Conclusion
Utilisons occasionnellement et préventivement l’EPP comme un antiseptique, un anti-infectieux efficace, pour prévenir et combattre des infections bactériennes et des mycoses, assainir la flore intestinale et renforcer ainsi les défenses immunitaires.
Sa relative douceur et son innocuité permet de l’utiliser en interne et en externe, même chez les enfants, mais toujours en dilution dans de l’eau.
Si les résultats ne sont pas probants rapidement, essayer d’autres anti-infectieux naturels, tout en traitant le terrain bien sûr.
Pour les femmes enceintes, prendre un maximum de précautions en testant au pli du coude sur la peau et en avalant de toutes petites doses que l’on augmentera progressivement.
Toujours diluer les gouttes d’EPP dans un peu d’eau, ne pas utiliser pur. Et attention aux yeux en usage externe.
On prendra environ 15 gouttes, de 1 à 4 ou 5 fois par jour. Cette dose peut varier de quelques gouttes, 4 à 8 gouttes pour un enfant, jusqu’à 30 gouttes pour un adulte corpulent.
La fréquence des prises journalières dépendra de la gravité de l’infection.
La durée du traitement sera aussi très variable suivant le problème traité et les résultats obtenus.
S’agissant d’infections, des résultats rapides, quelques jours, doivent être constatés, sous peine de remettre en cause le traitement.
Sur la peau, une dilution est également indispensable. 1 à 2 gouttes pures sur boutons infectés ou verrues.
Ne pas prendre l’EPP en continue durant des années.
Ne pas considérer l’EPP comme un médicament naturel miracle, capable de protéger de tous les microbes possibles. Ceci va d’ailleurs à l’encontre des règles élémentaires de médecine naturelle, qui considèrent toujours l’individu dans son ensemble et dans son environnement. Et ce n’est pas parce qu’on a passé un hiver sans être malade en ayant pris de l’EPP qu’il faut être persuadé de sa totale efficacité.
Ne pas oublier les règles de bases d’une bonne santé qui passent par une alimentation saine, une digestion saine, une bonne respiration et gestion du stress…
NOTA : Choisir des extraits de bonne qualité, plutôt bio, contenant uniquement de la glycérine, de la vitamine C (acide ascorbique) et dosés de 700 à 1000 mg de bioflavonoïdes pour 100ml.
Le chlorure d’ammonium n’est pas toxique en prise occasionnelle.
* EPP : Extrait de pépins de pamplemousse